Le Titi Palacio

Café de co-working boulevard Morland.
Il offre une vue imprenable sur les beaux immeubles haussmanniens mais toutes les places sont occupées.



Acrylique sur papier

Rue de Ménilmontant

Je passe plusieurs fois par semaine par cet endroit. C’est là, devant l’Ariel Café que je tourne à droite pour aller au marché.
La rue de Ménilmontant est plus en pente que ce que j’ai dessiné.

Acrylique sur papier

Rue Emile Desvaux

Nous nous sommes retrouvés à l’initiative des Urbansketchers de Paris dans un lotissement des années 20, le 30 août.
J’ai tout de suite opté pour ce point vue qui pour moi reflétait le calme de l’endroit.
Malheureusement arrivé à la fin de mon dessin il me manquait le rayon  de soleil qui m’avait émoustillé au début. 
Et puis j’ai trop traîné à ranger mes affaires. J’ai perdu  le groupe dans les chemins escarpés du square  du chapeau rouge.

Il a fallu que je patiente plusieurs semaines pour revenir compléter le dessin sur place.

Acrylique sur papier

Le marché de Belleville

L’entrée du marché au métro Belleville face au café La Vielleuse.
Là se trouvait une Pagode et un Manège qui viennent d’être démontés.
Là continuent de se tenir au milieu de la cohue, assis par terre ou debout, des personnages qui ne s’appuient sur rien. Pas faciles à saisir d’un coup d’œil.

Vous voulez que je vous fasse un dessin ? 

Pas faciles à saisir, c’est tout ce que je saurai dessiner.

Acrylique sur papier

Le square Louvois

Face à la Bibliothèque Nationale  nous nous sommes retrouvés à l’invitation des sketcheurs parisiens au square Louvois. Je me suis cantonné à la fontaine des quatre fleuves, créée par l’architecte Louis Visconti en 1844.
J’ai renoncé à détailler les splendides sculptures.

J’ai trouvé que les différentes couleurs des pierres et des feuillages me donneraient matière à dessiner.

Acrylique sur papier

Le marché de Belleville

Mon dessin est comme un tissu rapiécé. Inutile de chercher coûte que coûte à faire tenir et garder rassemblées toutes les pièces.
J’ai voulu retenir des personnages qui se sont succédé sans chercher à les garder dans leur exhaustivité.
Un homme assis en discussion avec un collègue. Il avait des cheveux clairs brillants et légèrement ondulés – mais pas une perruque 18 ème siècle comme c’est ressorti.

Un enfant portant casquette qui sirotait avec une paille une boisson sucrée.

Une jeune femme rousse qui accompagnait une homme handicapé assis sur une chaise roulante.

Au-dessus sur la droite un fragment de parasol aux couleurs criardes. Je les ai atténuées pour ménager les couleurs du camion qui me mettent en joie.

Acrylique sur papier